Trump a gagné. La nouvelle nous saisit dès le réveil, et nous ne savons qu’en faire. Un sentiment de sidération et d’impuissance, comme à l’annonce d’une mort qui nous touche, ou la menace d’une épidémie mortelle.
L’édito de Daniel Schneidermann n’est en rien rassurant, quand le seul pauvre remède qu’il préconise pour conjurer le fléau est de renforcer le développement de la presse indépendante. Cet article de Médiapart enfonce le clou en confirmant le rôle mortifère des réseaux sociaux. Autant dire que, cette fois la guerre est bien perdue.. ou qu’elle pointe son nez ?
Hier, passé une bonne soirée en compagnie de Malika et Pierre-Yves, avec qui nous avons revu Les gros patinent bien, avant de dîner ensemble à la Serenissima. La pièce nous a autant réjouis que la première fois, même sans l’effet de surprise.