Vidéo-surveillance : les yeux de la tête.
(
26 mai 2016 )Les caméras fleurissent dans les espaces publics. Rares sont les villes qui refusent désormais de céder aux mouchards urbains, qu’importent leur coût et leur inutilité avérée. En 1999, à peine 60 communes osaient s’équiper de caméras de surveillance, encore sujettes à la méfiance du grand public. Quinze ans plus tard, les références à Georges Orwell sont passées de mode, c’est la ruée vers l’observation numérique : 2384 communes en sont désormais équipées1 et les nouveaux dossiers d’autorisation se bousculent au portillon de l’administration.
http://data.d3jp.com/PagesDeWeb/2016/05/videosurveillance.html