Périphérique : le peuple des confins
(
19 février 2013 )Ils vivent en bordure de l’axe routier le plus fréquenté de France, tentes dressées ou cabanes construites à quelques mètres de la chaussée. Adroitement dissimulés dans la végétation, leurs abris restent pratiquement invisibles aux yeux de ceux qui empruntent le boulevard périphérique parisien. Un monde à part, entre misère et débrouille.
Cet article a été publié dans le numéro 10 de la version papier d’Article11
http://data.d3jp.com/PagesDeWeb/2013/02/periph.html